Secteur à haute valeur ajoutée, l’automobile réunit de nombreux acteurs de l’industrie et du service : fabricants, commerciaux, transporteurs… Ces derniers font partie de la chaîne logistique de ce secteur, cruciale au bon déroulement des activités. Là où la concurrence se fait très forte, une bonne logistique est donc doublement importante. Voici quelques bonnes pratiques pour en optimiser la chaîne.
Des emballages adaptés
Qui dit secteur automobile dit nombreuses pièces de toutes tailles. Aussi, disposer d’emballages adaptés et solides s’avère déterminant. Les caisses en carton Galia font désormais partie de la norme en la matière. Et pour s’en procurer facilement, les professionnels peuvent procéder à l’achat de caisses carton galia sur https://www.bbaemballages.com/caisses-carton-galia par exemple. Celles-ci sont justement conçues pour les besoins du secteur automobile, que cela soit pour le stockage en entrepôt ou durant le transport.
Les sous-traitants du secteur sont d’ailleurs soumis à une réglementation imposée par l’association Galia, et les caisses du même nom permettent de s’y conformer. Ce type de caisse permet une palettisation parfaite pour tous types de pièces, possède des rabats et existe en différents formats s’adaptant à diverses pièces automobiles. Il est bien entendu sécurisé et se conserve très bien dans le temps. Vous pouvez donc les réutiliser sans problème, et même les recycler, ce qui contribue à optimiser les coûts logistiques.
Un approvisionnement précis grâce aux flux tirés
Dans l’industrie française, les professionnels de l’automobile sollicitent souvent des équipementiers et fournisseurs de pièces détachées. Ces dernières sont alors apportées aux constructeurs, et leur bon approvisionnement est de ce fait crucial pour pouvoir assurer la cadence de production.
De manière globale, ces fournisseurs travaillent en flux tirés avec les producteurs. Cette méthode de production consiste à se baser sur la demande réelle pour prévoir l’approvisionnement des matières premières. Elle se rapproche d’ailleurs de la méthode japonaise Kanban. Elle permet d’éviter une surproduction, s’adapter à la demande des consommateurs et limiter le niveau de stock. Là encore, un bon moyen d’optimiser sa logistique automobile : coûts de production comme coûts de distribution en sont en effet réduits.
Le layout en entrepôt
Derrière cet anglicisme se cache un schéma servant à définir la distribution et conception de l’espace sur un plan.
Dans le secteur automobile, ce layout intervient donc pour étudier en amont l’organisation des installations, notamment en cartographiant différentes zones comme le chargement et déchargement, le stockage, la préparation de commandes (ou zone de picking) puis ce qui suit, à savoir l’expédition des produits finis ou semi-finis. N’oublions pas non plus la zone de contrôle qui intervient au niveau des entrées et sorties et comporte différents services annexes pour les employés de l’entrepôt.
Au moment d’établir ce layout, il convient de prendre en compte différents aspects. Le système de stockage (ex : la palettisation) ainsi que la méthode de gestion des marchandises vont par exemple définir comment seront organisées ces zones de l’entrepôt. Il faudra également prévoir des espaces dédiés pour les marchandises lourdes qui, comme vous vous en doutez, sont légion dans le secteur automobile. De même pour les pièces particulièrement fragiles. Enfin, il faudra comme dans tout entrepôt tenir compte des mesures de sécurité (ex : délimitations piétonnes et démarquages).
